Qui n‘a jamais rencontré des difficultés à s’endormir dans une période de sa vie ?
- 99% des gens qui se disent stressés évoquent des troubles du sommeil…
- 15 % des français sont insomniaques, 25 à 30% évoquent des troubles du sommeil ayant des répercussions importantes dans leur quotidien.
La première réponse à ces troubles est la prise de médicaments. 1 utilisateur sur 2 consomme deux médicaments associés pour s’endormir.
Pourtant, le somnifère perturbe le besoin naturel de sommeil ; il altère sa qualité et sa durée. On descend moins facilement dans le sommeil lent et profond, qui est pourtant le sommeil de la régénération cellulaire et de la récupération.
Une fatigue chronique s’installe malgré le somnifère : on dort mais on ne se répare pas ce qui entraine une dépendance au médicament . Lors de l’arrêt du somnifère on assiste souvent à une augmentation de l’insomnie.
Les causes de cette dette de sommeil sont multi factorielles. On peut noter en outre :
- une baisse de la dépense physique avec moins de fatigue physique
- une « ultra connexion » , ordi, portable…. Qui maintient un niveau d’éveil et qui retarde l’endormissement. On rate alors son heure d’endormissement et donc un cycle, voire deux cycles de sommeil.
- Cette ultra connexion coupe souvent la personne des signaux d’endormissement : yeux qui piquent, bâillement, sensation de froid, relâchement musculaire.
La sophrologie aide à retrouver l’accès à ses sensations, à sa corporalité et ainsi à monter dans le train du sommeil quand il arrive en gare.